Discrimination institutionnelle - Direction générale de l'enfance et de la jeunesse (DGEJ)
Malgré les sérieuses inquiétudes relatives à la santé
mentale et physique de la mère de Kim, ainsi que des accusations graves à son
encontre dans les affaires pénales, les autorités cantonales de Vaud n'ont pas
assuré la protection adéquate de Kim. Cette situation paraît être le résultat
d'une discrimination institutionnelle, qui a persisté en fermant les yeux
malgré les risques évidents pour la sécurité de l'enfant, potentiellement en
raison des origines ukrainiennes de la mère. Actuellement, Kim se trouve dans
un pays en conflit.
La demande répétée du père pour obtenir la garde de Kim,
dans le but de lui offrir une meilleure stabilité, a systématiquement été
contestée par les services de protection de l'enfance. Ces services, chargés
d'évaluer la capacité du père à s'occuper seul de sa fille, ont malheureusement
saboté de manière délibérée une rencontre cruciale entre le père et ISMV
(ISMV-Amont / L'Intervention Soutenante en Milieu de Vie), dans le but de nuire
au père et de trouver un prétexte pour placer l'enfant en foyer.
Il est crucial de souligner que les décisions de ces
services de protection de l'enfance, qui refusaient systématiquement de confier
la garde de l'enfant au père, étaient dépourvues de justifications valables.
Malgré leur connaissance des problèmes graves de santé mentale et relationnelle
de la mère, ils ont continué à dissimuler la vérité et à ne révéler que le
strict minimum lors des audiences, ne tenant pas compte de leur mission
première : la protection de l'enfant..